Dans 3 semaines, ma maison actuelle sera complètement vide. Et une autre sera en cours de remplissage, misère ...
Il y a un peu plus de trois ans, je partais d'un point A (près de Strasbourg) à un point B (à l'Ouest de Paris). Notre destination est donc logiquement un point C (Munich).
Dans 3 semaines.
Dis donc, la pression commence à monter là.
J'ai encore vingt mille choses à faire.
Je veux encore voir cent cinquante personnes.
J'ai pas trop le temps de faire ma maligne en ce moment ...
Si tu as des bons plans à ou autour de Munich, voire pour l'Allemagne, pleeeease, c'est le moment de les partager !!!!!
Lors de notre séjour bavarois en octobre, j'ai repéré des magasins sympas et ramené quelques souvenirs culinaires. Pas question de perdre le Nord non plus, hein !
Par contre, je n'ai que des photos toutes pourrites, tu attendras un peu pour voir mon nouveau cadre de vie ...
Un fouet danois, il a du se perdre ... |
Par contre, je n'ai que des photos toutes pourrites, tu attendras un peu pour voir mon nouveau cadre de vie ...
Et dans mon nouveau livre, j'ai trouvé LA recette de Kaiserschmarrn, celle qui détrone la recette que j'utilisais jusqu'à présent.
Le Kaiserscharren ou Kaiserschmarrn (Scrabble !!!!!) entre dans la catégorie des plats réconfortants qu'on apprécie en ce moment : c'est une crêpe-omelette bien épaisse, moelleuse à l'intérieur et croustillante à l'extérieur. J'en ai très souvent mangé en Autriche (mon moment préféré au ski !), et j'ai découvert avec grand bonheur qu'on en trouve sur toutes les cartes des restaurants traditionnels de Munich. Il est souvent servi avec de la compote de quetsches et cuisiné avec des raisins secs. Ici, on le préfère nature, brûlant et généreusement saupoudré de sucre glace. On place la poêle bien chaude au milieu de la table et chacun pioche les morceaux qui lui plaisent (on a aussi le droit de rajouter du sucre ...).
Le Kaiserschmarrn cache bien son jeu ; sous ses airs de plat tout simple et modeste, sa préparation nécessite tout de même une triple cuisson : d'abord saisi à la poêle, il passe ensuite une dizaine de minutes au four, puis retourne sur le feu jusqu'à devenir croustillant. Mais ne te laisse pas impressionné, je sais que tu maîtrise les macarons, rien ne peut te résister :-)