Parce que c'était trop bien la Crète !
Là où le mont Psiloritis est encore tout enneigé,
là où parfois on voit des chèvres perchées sur des escarpements,
où la route se perd dans des gorges,
là où il faut partager la route,
et parfois également sa table !
Là où on dirait qu'il y a des armes,
là où les oiseaux du paradis poussent en pleine terre,
et où l'accueil est spontané et la gentillesse naturelle. Lors d'une ballade, nous sommes tombés sur des gens fêtant le 1er mai. Je ne sais pas combien de fois nous nous sommes fait inviter, mais nous avons passé une partie de l'après-midi avec un groupe d'amis venant d'Héraklion, à goûter des plats locaux délicieux et à discuter de choses et d'autres. Les femmes qui s'étonnaient que je travaille avec trois enfants m'ont appris que l'employeur grec est théoriquement tenu d'augmenter le salaire selon le nombre d'enfants. Devine un peu ce qui se passe en vrai ...
En visitant un atelier de céramique dans un minuscule village, l'artisan a voulu montrer aux enfants comment travailler la terre en regrettant que nous ne soyons pas venu en début de semaine pour pouvoir peindre et cuire la pièce afin de l'emporter.
Une ballade dans les ruelles ombragées de l'agréable Rethimnon,
et de l'autre coté, la Libye ...
De retour à la maison, j'ai eu envie de prolonger un peu les vacances, et notamment le moment du petit déjeuner qu'on oublie bien trop souvent au quotidien. Après le Portugal et sa belle brioche, voici la Russie avec son énorme brioche trouvée chez Manue. Tellement énorme qu'elle nous conseille d'en faire deux ! Je connais des collègues qui vont se régaler ...
Une des brioche est au schokonüss, l'autre au caramel au beurre salé. Délicieuse l'une comme l'autre, pas trop sucrée ni trop grasse, n'hésitez pas à être généreux avec la garniture ! Je vous laisse trouver le recette chez Manue par ici. Et pour le façonnage, c'est par là.